Dans un courrier adressé à Élisabeth Borne, l’Uniopss et 26 associations ont interpellé le gouvernement sur les surcoûts à la charge des établissements et services sociaux et médico-sociaux liés aux nouvelles modalités d’évaluation.
Il y a près de trois semaines, l’Uniopss et 26 associations adhérentes et partenaires investies dans différents domaines des solidarités (autonomie, santé, lutte contre les exclusions, protection de l’enfance etc.) alertaient la Première ministre, ainsi que les ministères et directions compétents, sur la nécessité de compenser les surcoûts entraînés par la réforme de l’évaluation des ESSMS, qui sont aujourd’hui à la charge des structures.
L’impact sur les budgets et le temps RH consacrés aux nouvelles exigences implique en effet de nouvelles difficultés pour les équipes, et a fortiori pour les personnes accueillies et accompagnées.
Nos associations se tiennent à la disposition des pouvoirs publics pour co-construire des solutions. Pourtant, à ce jour, aucune réponse ne nous a été adressée.